| n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
| 1 | MATHURIN |
Oh parguenne ce n'est plus un secret, je sommes déjà promis l'un à l'autre, et j'avons fait des façons de fiançailles. |
Acte 1, sc. 1, MATHURIN, phrase 1 |
| 2 | MONSIEUR ROBINOT |
Croirais-tu bien, tout barbon que je suis, que je passe quelquefois des heures entières, avec mon petit domestique, à jouer à Colin-Maillard avec elle ? |
Acte 1, sc. 1, MONSIEUR ROBINOT, phrase 1 |
| 3 | MATHURIN |
Les filles et les femmes ne sont jamais plus aises que quand leurs tuteurs ou leurs maris faisont les Colin-Maillards avec elles ; et je crois que c'est pour ça, Gieu me pardonne, que ma défunte à moi m'affectionnait tant. |
Acte 1, sc. 1, MATHURIN, phrase 2 |
| 4 | MATHURIN |
Tout petit que j'étais, alle s'est queuquefois sarvi de moi pour en faire accroire à votre bonhomme d'oncle, et s'est morgué de père en fils que je sommes attachés à la famille. |
Acte 1, sc. 1, MATHURIN, phrase 3 |
| 5 | MONSIEUR ROBINOT |
Nous sommes hardis, comme vous voyez, dans notre famille. |
Acte 1, sc. 2, MONSIEUR ROBINOT, phrase 3 |
| 6 | MONSIEUR ROBINOT |
Ce mariage-là me servira de quittance, et je voudrais bien pouvoir de même épouser tous mes autres créanciers. |
Acte 1, sc. 4, MONSIEUR ROBINOT, phrase 1 |
| 7 | MADAME BRILLARD |
Hé bien, quelles mesures prend-t-il ? |
Acte 1, sc. 6, MADAME BRILLARD, phrase 2 |
| 8 | LÉPINE |
Oui, mais nous sommes deux brutaux contre un, prends-y garde, tu te feras donner cent coups de bâton. |
Acte 1, sc. 9, LÉPINE, phrase 1 |
| 9 | ÉRASTE |
Un reste de tendresse combattait pour elle, je vous l'avoue : mais dès le moment que je vous vis toutes deux ensemble, aussitôt que je pus comparer vos charmes aux siens? |
Acte 1, sc. 11, ÉRASTE, phrase 2 |
| 10 | CLAUDINE |
Si cela est comme ça, Monsieur, allez-vous-en ; car ça est inutile, nous ne sommes pas pour être mariés ensemble. |
Acte 1, sc. 11, CLAUDINE, phrase 1 |
| 11 | CLAUDINE |
Oui, de nous aimer : mais de nous marier, ce n'est pas de même ; et quand des Messieurs comme vous épousent de petites paysannes comme moi, on dit que ce n'est jamais pour de bon, et je veux que ce soit tout de bon qu'on m'épouse. |
Acte 1, sc. 11, CLAUDINE, phrase 1 |
| 12 | CLAUDINE |
Que ma mère, ma tante et mes cousines soient de la noce. |
Acte 1, sc. 11, CLAUDINE, phrase 1 |
| 13 | CLAUDINE |
Car nous sommes fiancés, je vous en avertis. |
Acte 1, sc. 2, CLAUDINE, phrase 1 |
| 14 | MATHURIN |
Oui palsanguenne j'y étais, ça ne va pas mal ; stanpendant je ne sommes que fiancés, et que sera-ce donc quand je serons mari et femme ? |
Acte 1, sc. 2, MATHURIN, phrase 1 |
| 15 | MATHURIN |
Monsieur le Capitaine, mettez la main à la conscience, je sommes fiancés Claudeine et moi ; est-ce que vous voudriais me faire ce tort-là ? |
Acte 1, sc. 2, MATHURIN, phrase 3 |
| 16 | ÉRASTE |
Un tendre souvenir me rappelle à ses charmes. |
Acte 1, sc. 14, ÉRASTE, phrase 1 |
| 17 | LÉPINE |
Monsieur Robinot s'informe de nous dans le Village, on est venu de sa part au cabaret demander qui nous sommes. |
Acte 1, sc. 14, LÉPINE, phrase 1 |
| 18 | ANGÉLIQUE |
Dussé-je le reste de mes jours traîner une vie languissante et malheureuse avec Monsieur Robinot, prévenons, du moins en apparence, en lui donnant la main, la honte de n'avoir pu garder un coeur qui devait n'être qu'à moi. |
Acte 1, sc. 17, ANGÉLIQUE, phrase 2 |
| 19 | MATHURIN |
Je sommes raccommodés moi et Claudeine. |
Acte 1, sc. 22, MATHURIN, phrase 2 |
| 20 | MATHURIN |
C'est un de mes cousins d'auprès de Bourgenville, qui ayant ouï dire dans le Village qu'on disait qu'il y avait ici des Ménétriers? |
Acte 1, sc. 23, MATHURIN, phrase 3 |
| 21 | MATHURIN |
Qui ne les voit, les entend, les vela eux-mêmes avec tout le Village. |
Acte 1, sc. 23, MATHURIN, phrase 2 |
| 22 |
MATHURIN |
Nombre de femmes et filles |
Acte 1, sc. 25, v. 49 |
| 23 |
MATHURIN |
Faites, Messieurs, Colin-Maillard. |
Acte 1, sc. 25, v. 68 |
Lexique d'un texte